ليس للكرامة جدران (Karama has no walls)

Ameen Al-Ghaberi & Sara Ishaq, 2012

26 min | Documentaire

Traduction audiovisuelle, sous-titrage

EN – ES, CA

Projet pour le Festival du film sur les Droits Humains Barcelone. J’ai traduit et revu l’écriture originale anglaise en espagnol et en catalan.

Karama has no walls se passe au milieu du soulèvement de 2011 au Yémen. Le film illustre la nature de la révolution yéménite en contraste frappant avec les graves violations des droits de l’homme qui ont eu lieu le vendredi 18 mars 2011. Juma’at El-Karama (Vendredi de la dignité) marque un tournant dans la révolution yéménite, car les événements tragiques qui ont eu lieu ce jour-là, lorsque des tireurs d’élite pro-gouvernementaux ont tué 53 manifestants, secoué la nation et incité des centaines de milliers d’autres à venir sur la place en solidarité avec leurs concitoyens. À travers les objectifs de deux caméras et les histoires de deux pères, le film raconte l’histoire des personnes derrière les statistiques et les nouvelles, soulignant les événements tragiques de ce jour au fur et à mesure qu’ils se sont déroulés.